Vous trouverez en téléchargement ci-dessous mes commentaires et questionnements sur le compte-rendu de la réunion tenue le 27 février entre le Collectif belge et Koen Schoors, de la SAAT.
On y a évoqué e.a. la possibilité d'une bande de de cotation avec minimum et maximum, l'évolution probable du cours futur, et les options de vote à la SAAT.
En cliquant sur les liens ci-dessous, vous pourrez prendre connaissance de deux articles quasi similaires parus ce 20 février.
Ils donnent une vision un peu trop synthétique de nos problèmes, et pas tout à fait juste d'ailleurs, mais au moins, quelque chose est évoqué.
On regrettera sans doute le caractère un peu trop pessimiste des articles, qui suscitera certainement quelques craintes infondées chez des gens qui ne sont pas concernés par les certificats.
Deux clients m’ont rapporté (merci à eux) des contacts plus ou moins récents avec la banque.
1. Le premier concerne une discussion pour une éventuelle future rencontre avec un conseiller de la banque lors des journées namuroise (voir détails dans l’article « Pop, pop, pop up music »).
On a pu apprendre plusieurs choses :
- L'inscription se fera en deux temps sur la MTF.
A. Consultation du nombre de certificats détenus
B. Ouverture d'un compte pour des transactions éventuelles.
- Le client pourra en rester au point A et attendre de voir. Les certificats resteront alors sur le compte-titres Triodos. Mais toute transaction devra passer par le MTF Captin et donc, passer par le point B.
- Une commission de 0.3 % sur les transactions sera prélevée et d’autre sfrais pourraient être appliqués.
- Le flou reste sur la valeur d'introduction. Personne ne sait.
Attention : Ces infos sont à prendre au conditionnel et ne pourront être validées qu’après communication officielle de la Banque.
2. Le second nous a fait part de ses contacts avec la banque entre avril et juin 2022.
Plusieurs questions ont été posées. J’en retiens surtout deux, dont les réponses permettent d’établir ceci :
A. Fin 2020, c'est-à-dire à la fin de la période de réouverture des transactions, le buffer semble bien avoir été réouvert, contrairement au constat / questionnement émis récemment dans ma newsletter du 14 février (point 1 : et pour une question de plus). En effet, le buffer a grimpé jusqu’à un pic de 29 982 712 € lors de la dernière semaine de l’année. Un achat pour 10 000 000 € a permis de refroidir la machine, qui s’est finalement stabilisée à 20 655 998 € avant clôture définitive.
Ceci pose néanmoins une autre question : qui a injecté cette somme, et pourquoi ? Et surtout, ayant cet argent frais à disposition, pourquoi a-t-on quand même fermé les transactions le 5 janvier ? L’explication donnée par le CEO à l’époque était de dire que la diminution du buffer était dû à un achat ponctuel, et pas à un renversement du déséquilibre structurel entre l'offre et la demande. Pourquoi est-ce que cela me laisse frais ?
B. L’AFM, c’(est à dire l’autorité de contrôle aux Pays-Bas a été alertée par ce client. Il a reçu une réponse polie, mais de non-recevoir, confirmant ainsi que tant en Belgique qu’aux Pays-Bas, et sans doute ailleurs, il ne faudra pas compter sur ces autorités pour faire avancer la cause.
Si vous vous demandez pourquoi le titre « Plus ultra » a été utilisé ici, c’est parce que c’est la devise de l’état espagnol (on aura au moins appris quelque chose). Et en l’occurrence, elle est de circonstance puisque certains détenteurs locaux se sont souvenus des exploits des frères Bombita en attaquant la banque en justice.
Suite à la réunion de Tilff, une cliente (grâce lui soit rendue) a très gentiment fait quelques recherches aux résultats intéressants. Elle a ainsi trouvé plus de détails sur les affaires et actions en cours au pays de tonton Felipe.
Je vous invite à vous reporter aux sites suivants pour en savoir plus :
- Reclama Triodos : https://reclamatriodos.es/, avec e.a. un article éclairant de l’avocat en charge des plaignants (https://reclamatriodos.es/la-estrategia-...-sus-cdas/) et qui rejoint mes impressions en clamant clairement que Triodos a une stratégie de lenteur destinée à avorter toute possibilité de réclamation ultérieure.
- Un autre bureau d’avocat est à charge, lui aussi, Col-lectiu Ronda. On trouve sur son site plusieurs artciles à propos de Triodos dont par exemple celui-ci : https://www.cronda.coop/Actualitat/Col-l...inversores.
Il est intéressant de noter que le jugement dont il est question dans cet article précise que le détournement des certificats par Triodos vers un marché secondaire a empêché les clients de réclamer l’argent, ce qui constituait une violation du contrat initial. Ce qui rejoint ma position sur le fait de savoir pourquoi la banque n’a pas été au bout du buffer en mars 2020, comme présenté dans les questionnaires de connaissance de l’époque.
Ceci étant, si les nos amis Ibères ont été plus prompts que nous en justice, il n’empêche que, à ma connaissance, toutes les affaires perdues par Triodos ont systématiquement été renvoyées en appel. À ce niveau, il n’est pas impossible que les premiers jugements soient cassés, surtout s’ils tablent comme certains sur un manque au niveau de l’information initiale.
Quelques réunions, contacts ou échanges de courriers ont lieu en janvier suite aux communiqués de la banque, soit entre elle et le Collectif belge, soit avec la Fondation aux Pays-Bas (SCTB). Je vous en donne ici les résumés. 9 janvier Suite à son courrier adressé à la Banque, la Fondation SCTB reçoit la réponse de Triodos. La version NL et la version FR sont téléchargeables dans la section Article de presse de ce forum, sous le titre Parutions de janvier. Notez que la traduction FR via Deepl manque parfois de précision. Cela est du au fait que le document d’origine est un pdf. En gros, la banque ne fait que redire ce qu’elle a écrit antérieurement et qui est très bien décrit par elle : Bien que nous estimions que le communiqué de presse du 21 décembre a fourni toutes les informations pertinentes pour les détenteurs de certificats et les autres parties prenantes… On appréciera la formule, qui a déjà été utilisée par la banque antérieurement. Ce procédé psychologique éminemment éthique est décrit dans mon rapport Comprendre et agir. 11 janvier Réunion de collectif belge. Il en ressort notamment le Collectif souhaite servir de caisse de résonance aux propos de la SCTB en Belgique. Par ailleurs, il souhaite intensifier les contacts avec Koen Schoors (SAAT) afin de le tenir au courant des évolutions et d'exercer une influence en temps utile en matière de gouvernance. Un appel est lancé à toute personne souhaitant participer à ces réunions. Enfin, l’attention a été attirée sur le fait que les classements bancaires en matière de durabilité ne tiennent pas compte de l’aspect de gouvernance. Le collectif veut confronter Triodos à son problème dans ce domaine.
Je note que le Collectif a déjà rencontré Koen Schoors à Gand, lequel ne se déplace pas pour rencontrer le Collectif ailleurs. Par ailleurs, à lire les rapports qui en sont faits, et bien que je n'aie pas (encore) rencontré le bonhomme, je crains fort que ces réunions soient stériles. Mais bon, l'espoir fait vivre... 24 janvier La SCTB publie ses commentaires à la lettre de Triodos du 9 janvier. La version Nl est disponible en cliquant ici. La version française dans la section Article de presse de ce forum, sous le titre Parutions de janvier. La STCB montre évidemment sa déception face à une communication redondante et insipide. Il est flagrant de constater que ceux qui donnent ces réponses chez Triodos semblent persuadés d’expliciter les choses clairement. J’ai déjà abordé ce problème dans mon rapport d’octobre. La fondation publie également une lettre à propos des questions qu’elle se pose par rapport à Captin. La version Nl est disponible en cliquant ici. La version française dans la section Article de presse de ce forum, sous le titre Parutions de janvier. 25 janvier Assemblée générale de Triodos qui était censée aborder la question du MTF et de Captin, mais ces points ont été reportés à fin mars. pouf, pouf, tout va bien. L'ordre du jour n'a pas empêché les participants de poser de nombreuses questions, directement ou indirectement, sur le MTF. On apprend entre autre : 1. Le calendrier reste antérieur au 30 juin 2023. Il y aura des webinaires au cours desquels la banque a l'intention de tester ses propositions sur les caractéristiques de négociation du MTF par rapport aux opinions des détenteurs de certificats. La banque entend par là le prix, la périodicité, les critères pour les nouveaux participants.... 2. En ce qui concerne Captin, 50% des Néerlandais (particuliers) ont répondu à l'envoi de Captin pour s'inscrire et seuls quelques milliers d'entre eux ont ouvert un compte. Il y a beaucoup de problèmes pratiques semble-t-il. Le service client de la banque tente elle-même de trouver des solutions. On ne m'enlève pas de la tête que ce n'est pas normal et que la taille de Captin est cause des dysfonctionnements. 3. Les belges seront contactés en février, si tout va bien. Mais il semble que bien des détenteurs attendent de voir ce qu'il va se passer. On peut les comprendre à partir du moment ou aucune réclamation ne pourra être faite contre Triodos Bank une fois qu'il y a un enregistrement auprès de Captin. 4. Le calcul de la Fondation (SCTB) qui obtient une valeur économique (ou juste valeur / fair value - voir mon commentaire du 10 janvier dans la section Rapports) de moins de 60 € fait trembler certains. Ils pensent dès lors que la Banque devra imposer un prix minimum lors du lancement pour soutenir le cours. il semble même que la banque elle-même veuille discuter de ce type de points (voir point 1 ci-dessus). Sur ce sujet, je pense qu'on se met le doigt dans l'oeil. Reprenons : - La banque a toujours communiqué qu'elle n'interviendrait pas dans le processus de cotation, laissant faire le marché. - Il est loin d'être sûr que les autorités de contrôle acceptent une intervention de la banque dans la cotation parce qu'à ce compte, n'importe quelle société cotée en bourse pourrait faire pareil, et c'est justement le principe que non, sinon, ça s'appelle un délit d'initié ! - Si la banque soutien le cours en n'autorisant pas les achats en dessous d'un certain seuil, mais qu'en même temps, on détermine une valeur économique inférieure à laquelle le certificat pourrait être acheté par le marché, il y a un gros bug, parce que si le marché veut acheter à 50, il n'achètera tout simplement pas à 60 juste parce que la banque l'a décidé. Si on vient se faire coter en bourse, fut-elle fermée, ce n'est pas pour imposer son diktat ! Il est à noter que le Collectif belge a demandé des réunions préparatoires avec la Banque avant la future AG de mars, pour avoir des infos claires et utiles sur Captin, le MTF, etc. Ces webinaires, acceptés par la Banque, seront sans doute encore très creux puisque la banque ne va pas communiquer des infos officielles alors qu’elle le fera officiellement à son AG. Constatons néanmoins qu'il y aura peut-être une chance de préparer des questions plus pointues pour l'AG. A suivre, assurément.
Vous trouverez ci-dessous une traduction de l'article du 9 janvier 2023 paru sur le site de la Fondation de défense des intérêts des détenteurs de certificats. Cet article reviens sur l'audition de décembre à la chambre de commerce, et sur la "valorisation économique" des certificats. En lisant mon propre compte-rendu (voir section rapports), établi sans avoir eu connaissance des points de vue de la Fondation, on constatera un rapprochement du vue. J'en suis évidemment heureux.
Hieronder vindt u een vertaling van het artikel van 9 januari 2023 dat is gepubliceerd op de website van de Stichting ter behartiging van de belangen van certificaathouders. Dit artikel komt terug op de hoorzitting van december bij de Kamer van Koophandel, en op de "economische valorisatie" van de certificaten. Als u mijn eigen verslag leest (zie rubriek verslagen), dat is opgesteld zonder kennis van de standpunten van de Stichting, zult u zien dat de standpunten dichter bij elkaar liggen. Daar ben ik natuurlijk blij om.
Le 21 décembre 2022, la banque a publié un communiqué de presse confirmant l'application d'une valeur économique du certificat d'action à 60 €. J'ai déjà évoqué dans mon rapport "Comprendre et agir" les raisons qui me poussent à penser que cette dévalorisation n'était pas nécessaire.
Le récent communiqué apportant quelques précisions, j'ai rédigé un article didactique pour analyser plus en profondeur ce problème. Cet article est disponible en téléchargement ci-dessous. Merci à Serge pour la traduction NL via Deepl Pro.
Mis en perspective depuis 2019, mes conclusions amènent à se poser des questions sur la contradiction entre des évènements qui, mis bout à bout, indiquent une volonté de cotation externe et des communiqués de la banque qui montrent une réactivité obligée à des évènements imprévus.
Cet article a été conçu pour permettre aux néophytes de rester dans une compréhension la plus grande possible. J'espère que ce sera le cas car cette synthèse apporte, je pense, un éclairage utile dans la crise actuelle.
Bonne lecture à vous,
Bernard Poncé
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Op 21 december 2022 gaf de bank een persbericht uit waarin zij de toepassing van een economische waarde van het aandelencertificaat van 60 euro bevestigde. In mijn verslag "Begrijpen en handelen" heb ik al aangegeven waarom ik van mening ben dat deze devaluatie niet nodig was.
Aangezien het recente persbericht enige opheldering verschaft, heb ik een didactisch artikel geschreven om deze kwestie grondiger te analyseren. Dit artikel kan hieronder worden gedownload. Met dank aan Serge voor de NL vertaling via Deepl Pro.
In perspectief geplaatst sinds 2019, leiden mijn conclusies tot vragen over de tegenstrijdigheid tussen de gebeurtenissen die, samen genomen, wijzen op een verlangen naar een externe notering en de communiqués van de bank die blijk geven van een verplichte reactiviteit op onvoorziene gebeurtenissen.
Dit artikel is ontworpen om neofieten een zo groot mogelijk begrip te geven. Ik hoop dat dit het geval zal zijn, want ik denk dat deze samenvatting een nuttig licht werpt op de huidige crisis.
Le 22 décembre, la Chambre de commerce d’Amsterdam a lancé sa procédure d’enquête vis-à-vis de Triodos, initiée par la Fondation des détenteurs de certificats. Plusieurs articles sont parus sur son site (cliquez ici pour y accéder). En voici un résumé (approximatif puisque traduit) : - Le VEB / European investors, qui est un peu le pendant P-B de Test-Invest, signale qu’il discutera des points sur lesquels il existe des doutes quant à une politique correcte de Triodos. Cela concerne, par exemple, le contrôle très limité des détenteurs de certificats d’actions chez Triodos. « La banque dit qu’elle écoute ces fournisseurs de capitaux, mais refuse de leur donner sérieusement son mot à dire. Ce n’est plus de ce temps », selon le VEB. - L’agence de notation Fitch a reconfirmé la notation BBB de la Banque Triodos, mais a en même temps révisé ses perspectives à négatives (elles étaient considérées comme stables avant le 9/12). Elle signale e.a. que la structure de gouvernance n’a pas accordé suffisamment d’attention aux intérêts des détenteurs de certificats représentatifs. - La fondation indique qu’elle ne donne pas de conseil en ce qui concerne l’acceptation d’aller sur Captin ou non, et de vendre ou non, sachant que ce n’est pas son rôle officiel. Par ailleurs, Het Financieele Dagblad a donné un compte-rendu de la session. Le texte original est consultable sur le site du journal. La traduction se trouve dans la section du Trioforum – Bibliothèque – Articles de presse. Il est à noter qu'un article connexe donne un compte-rendu heure par heure des débats. Instructif ! Version NL en cliquant ici, version française dans les articles de presse de ce forum. Cet article relève les propos de l’avocat de la Fondation / VEB qui s’étonne que le management de Triodos n’aie jamais mis en place une réflexion pertinente sur la cotation des certificats suite à 2008, chose que j’ai évidemment également relevé dans mon rapport. La chambre de commerce a tenté de voir si les parties pouvaient éventuellement s’entendre, mais il est évident que si la Fondation a dû déposer une requête, c’est que la réponse est négative. Comment en effet accepter la discussion avec un management qui n’a fait qu’une seule chose : suivre ses propres avis et prendre les détenteurs en otage. On ne s’étonnera pas que Triodos demande le rejet pur et simple de la requête, comme si personne n’avait rien à se reprocher. Honteux ! Le 23 décembre, la Fondation a publié une newsletter donnant plus de détails suite à la réunion du 22 à la Chambre de Commerce. Le texte NL est consultable en cliquant ici. La version française traduite est disponible dans la section du Trioforum – Bibliothèque – Articles de presse. Outre ce qui a été publié ci-avant, on ne retiendra qu’une chose : À la demande de la Banque, la Chambre d'entreprise a décidé qu'une grande partie des documents soumis par le CA, SB et SAAT devaient rester confidentiels. En conséquence, la Fondation et la VEB ne sont pas autorisées à partager le contenu des documents pertinents avec leurs mandants. Bref, au Nord, rien de franchement nouveau. -----------------
Op 22 december startte de Ondernemingkamer in Amsterdam haar onderzoeksprocedure tegen Triodos, ingeleid door de Stichting Certificaathouders. Verschillende artikelen zijn op haar website verschenen (klik hier om ze te openen). Hier is een samenvatting (bij benadering vertaald):
- De VEB/Europese beleggers, een soort P-B tegenhanger van Test-Invest, meldt dat zij de punten waarover twijfel bestaat over een correct Triodos-beleid zal bespreken. Dit betreft bijvoorbeeld de zeer beperkte zeggenschap van de certificaathouders bij Triodos. "De bank zegt te luisteren naar deze kapitaalverschaffers, maar weigert hen een serieuze stem te geven. Dit is niet meer zoals vroeger", aldus de VEB.
- Het ratingbureau Fitch heeft de BBB-rating van Triodos Bank herbevestigd, maar tegelijkertijd de vooruitzichten naar negatief bijgesteld (vóór 9/12 werd de rating als stabiel beschouwd). Zij wijst er onder meer op dat in de bestuursstructuur onvoldoende aandacht is besteed aan de belangen van de houders van representatieve certificaten.
- De stichting verklaart dat zij geen advies geeft over het al dan niet naar Captin gaan en het al dan niet verkopen, aangezien dit niet haar officiële rol is.
Daarnaast deed Het Financieele Dagblad verslag van de zitting. De originele tekst is beschikbaar op de website van de krant. De vertaling staat in de rubriek Trioforum - Bibliotheek - Persartikelen.
In dit artikel staan de woorden van de advocaat van de Stichting / VEB, die zich erover verbaast dat de directie van Triodos nooit goed heeft nagedacht over de notering van de certificaten na 2008, iets wat ik uiteraard ook in mijn rapport heb geconstateerd. De Kamer van Koophandel heeft geprobeerd om te zien of de partijen tot overeenstemming konden komen, maar het is duidelijk dat als de Stichting een verzoek moest indienen, het antwoord negatief is. Hoe kun je een discussie accepteren met een directie die maar één ding heeft gedaan: haar eigen advies opvolgen en de houders gijzelen. Het is niet verwonderlijk dat Triodos vraagt om het verzoekschrift zonder meer af te wijzen, alsof niemand zich ergens voor hoeft te schamen. Schandalig!
Op 23 december publiceerde de Stichting een nieuwsbrief met meer details naar aanleiding van de bijeenkomst van de 22e bij de Kamer van Koophandel. De NL tekst kan worden geraadpleegd door hier te klikken. De vertaalde Franse versie is beschikbaar in de rubriek Trioforum - Bibliotheek - Persartikelen.
In aanvulling op wat hierboven is gepubliceerd, is één ding duidelijk: Op verzoek van de Bank heeft de Kamer van Koophandel besloten dat een groot deel van de door het bestuur, de RvC en SAAT ingediende documenten vertrouwelijk moet blijven. Bijgevolg mogen de Stichting en de VEB de inhoud van de betrokken documenten niet met hun kiezers delen.
