Echos publics
#1
Deux clients m’ont rapporté (merci à eux) des contacts plus ou moins récents avec la banque.
 
1. Le premier concerne une discussion pour une éventuelle future rencontre avec un conseiller de la banque lors des journées namuroise (voir détails dans l’article « Pop, pop, pop up music »).
 
On a pu apprendre plusieurs choses :
 
- L'inscription se fera en deux temps sur la MTF.
 
A. Consultation du nombre de certificats détenus
B. Ouverture d'un compte pour des transactions éventuelles.
 
- Le client pourra en rester au point A et attendre de voir. Les certificats resteront alors sur le compte-titres Triodos. Mais toute transaction devra passer par le MTF Captin et donc, passer par le point B.
 
- Une commission de 0.3 % sur les transactions sera prélevée et d’autre sfrais pourraient être appliqués.
 
- Le flou reste sur la valeur d'introduction. Personne ne sait.
 
Attention : Ces infos sont à prendre au conditionnel et ne pourront être validées qu’après communication officielle de la Banque.
 
 
2. Le second nous a fait part de ses contacts avec la banque entre avril et juin 2022.
 
Plusieurs questions ont été posées. J’en retiens surtout deux, dont les réponses permettent d’établir ceci :
 
A. Fin 2020, c'est-à-dire à la fin de la période de réouverture des transactions, le buffer semble bien avoir été réouvert, contrairement au constat / questionnement émis récemment dans ma newsletter du 14 février (point 1 : et pour une question de plus). En effet, le buffer a grimpé jusqu’à un pic de 29 982 712 € lors de la dernière semaine de l’année. Un achat pour 10 000 000 € a permis de refroidir la machine, qui s’est finalement stabilisée à 20 655 998 € avant clôture définitive.
 
Ceci pose néanmoins une autre question : qui a injecté cette somme, et pourquoi ? Et surtout, ayant cet argent frais à disposition, pourquoi a-t-on quand même fermé les transactions le 5 janvier ? L’explication donnée par le CEO à l’époque était de dire que la diminution du buffer était dû à un achat ponctuel, et pas à un renversement du déséquilibre structurel entre l'offre et la demande. Pourquoi est-ce que cela me laisse frais ?
 
B. L’AFM, c’(est à dire l’autorité de contrôle aux Pays-Bas a été alertée par ce client. Il a reçu une réponse polie, mais de non-recevoir, confirmant ainsi que tant en Belgique qu’aux Pays-Bas, et sans doute ailleurs, il ne faudra pas compter sur ces autorités pour faire avancer la cause.
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